http://melissa66.vefblog.net/

  VEF Blog

petit nuage

posté le 16-05-2008 à 17:25:08

                                       

 

 

 

 

                                          

Liens
musique

 


 
 
posté le 16-05-2008 à 17:18:49

image

 

 

 

 

Liens
musique

 


 
 
posté le 15-05-2008 à 23:54:20

image

 

 

 

 

super beau chat il est mimi

Liens
musique

 


 
 
posté le 14-05-2008 à 15:52:51

poesie

 

 

 

 

                         le coeur a ses raisons que la raisons ne connait pas

 

 


 
 
posté le 13-05-2008 à 20:02:50

poeme

 

 

Au temps qu'amour,d'hommes et de dieu vainqueur,

faisait bluler de flamme mon coeur ,

en embrasant de cruelle rage.

mon sang,mes os,mon esprit et courage,

encore lors je n'avais la puissance.

de lamenter ma peine etma souffrance;

encor phébrus, ami des laurier verts;

n'avais permis que je fisse des vers.

mais maintenant que sa fureur divine remplit d'ardeur

ma hardie poitrine,chanter me fait,non les bruyants tonnerres

de jupiter,ou les cruelles guerres

dont trouble mars,

quand il veut l'univers il m'a donné la lipre,

qui les vers soulait chanter de l'amour les bienne:

et à ce coup pleurera de la mienne.

o doux arcet,adoucis-moila voix,

qui pourrait fendre et aigrir quelque fois

en récitant tant d'ennuis et douleur,

tant de dépits,fortunes et malheurs.

trempe l'ardeur dont jadis mon coeur tendre

fut,en brulant, demi reduit en cendre.

je sens déjà un piteux souvenir

qui me contraint la larme à l' oeil venir.

il m' est avis que je sens les alarmes

que premiers j' eus d'amour,

je voir les armes dont il s'arme en m'assaillir.

c'était mes yeux,dont tant faisais saillir

de traits à ceux qui tro me regardaient,

et de mon arc assezne se gardaient.

mais ces miens treuits, ces miens yeux me défirent,

et de vengeance etre exemple me firent.

et me moquant,et voyant l'un aimer,

l'autre bruler et l'amour consommer;

en voyant tant de larmes épandues,

tant de soupirs et prieres perdues,

je n'aperçus que soudain me vint prendre le meme mal

que je soulais repredre,qui me perça d'une telle furie

qu'encor n'en suis aprés long temps guérie;

et maintenant me suis encor contrainte de rafaichir

d'une nouvelle plainte mes maux passes

dames qui les lirez,de mes regrests avec moi soupirez.

possible, un jour, je ferai le semblable,

et aiderai votre voix pitoyable

a vos travaux et peines raconter,

au temps perdu vainement lamenter.

quelque rigueur qui loge en votre coeur,

amour s'en peut un jour rendre vainqueur.

et plus aurez lui ete enemies,pis vous fera,

vous sentant asservies.

n'estimez point que l'on doive blamer

celles qu'a fait cupidon enflammer.

autre que nous ,nonobstant leur hautesse,

ont endure l'amoureuse rudesse.

leur coeur hautain, leur beauté,leur lignage,

ne les ont su preserver du servage.

de dur amour; les plus nobles esprits

en sont plus fort et plus soudain épris.

sémiramis, reine tant renommée,

qui mit en route avec que son armée

les noirs squadrons des ethiopiens,

et en montrant louable exemple aux siens faisait couler,

de son furieux blanc,des ennemis

les plus braves le sang ayant encor envie de conquerre

tous ses voisins,ou leur mener la guerre trouva amour,

qui si fort la pressa,qu'armée et lois vaincue elle laisse.

ne meritant sa royale grandeur

au moins avoir un moins facheux malheur

qu'aime son fils?

reine de babylone,

où est ton coeur qui es combats résonne?

qu'est devenu ce fer et cet ecu,

dont tu rendais le plus brave vaincu?

où as-tu mis la martiale crete

qui obombrait le blond or de ta tete?

où est épée ,ou est ceble cuirasse,

dont tu rompais des ennemis l'audace?

où fuis tes coursiers fuirieux

lesquels trainaient ton char victorieux?

t'a pu si tot un faible ennemi rompre

a pu si tot ton coeur viril corrompe,

que le plaisir d'armes plus ne te touche,

mais seulement languis en une couche?

tu as laisse les aigreurs martiales,

pour recouvrer les douceurs géniales.

ainsi amour de toi t'a étrangée

donc ques celui lequel d'amouréprise plaindre me voit,

que pintil ne meprise mon triste deuil:

amour peut-etre,en bief en son en droit

n'apparaitra moins grif-telle j'ai vue,

qui avait en jeunesse blame amour,

apres en sa vieillesse bruler d'ardeur,

plaindre tendrement l'apre rigueur de son tardif tourment.

alors,de fard et eau comtinuelle,

elle assayait se faire venir belle, voulant chasser leride.

labourage, que age avait grave sur son visage.

sur son chef gris elle avait empruntée

quelque perruque et assez mal entre;

et plus etait à son gré bien fardée,

de son ami moins etait regardée:

lequel aileurs fuyant, n'en tenait compte,

tant lui semblait l'aide, et avait grand 'honte d'etre aime,

elle n'est point aime.

ainsi,elle amour prend sont plaisir à faire quel le veuil

d'un soit àl'autre contraire.

tel n'aime point qu'une dame aimera

tel aime aussi qui aime ne sera,et entretient ,néanmoins,

sa puissance et sa rigueur d'une vaine espérance.

 

 

                                                          ...melissa...

 

 

 

 

 

 

 


 
 
 

Ajouter un commentaire

Pseudo : Réserve ton pseudo ici
Email :
Site :
Commentaire :

Smileys

 
 
 
Rappel article